Comme narré dans mon précédent article, je dispose à présent dans le salon d'un petit Brix de Gigabyte (un équivalent du NUC d'Intel) qui me sert principalement de HTPC. Il est relié à un moniteur Full-HD de 22" situé à deux mètre du canapé, donc parfaitement adapté en taille à son
Si jusqu'à présent la plupart de mes articles concernant Linux étaient très orientés "serveur" ou du moins "headless", suite à mon changement de configuration matérielle et mon passage à Archlinux comme OS principal, je vais commencer à élargir un peu et tenter d'aborder certains aspects
Je termine enfin le récit de mes aventures avec mon vieux PC "Ancient" à base de 486 DX2. Jusqu'ici j'ai pu expérimenter quelques soucis inhérent à cette génération de matériel : La pile CMOS avait tout d'abord rendu l'âme bien des années plus tôt, et trouver le bon modèle m'a posé
J'étends ma parenthèse ouverte lors de la partie précédente et continue l'évaluation des performances de cette fameuse machine. Si vous avez raté le début : Les aventures d'un 486 DX2 au XXIème siècle (1ère partie) Les aventures d'un 486 DX2 au XXIème siècle (2ème partie) Les aventures
On reprend où l'on s'était arrêté : l'installation de la Slackware proprement dite. Mais je vais me permettre quelques digressions sur l'aspect hardware avant de revenir vers le soft un peu plus tard. Je tiens quand même à rappeler que les événements que j'ai retracés (en les condensant en
L'aventure de mon 486 continue. Dans l'épisode précédent, j'avais choisi la distribution GNU/Linux que j'allais tenter d'installer sur la machine : une Slackware 8.1. J'avais préparé les (7) disquettes nécessaires – non sans m'être rendu compte après-coup que certaines avaient dépassé
Cela faisait un petit moment que je n'avais pas eu de bidouilles geekiennes bien chronophages (et inutiles ?) à faire sur un de mes... nombreux PC, et je dois avouer que cela me manquait. J'ai bien un projet d'application en Python/Django qui avance doucement et que j'envisage sérieusement de